En 1984, précédant la création de la start-up SurfactGreen, deux scientifiques diplômés de l’École Nationale Supérieure de Chimie de Rennes (ENSCR), Daniel Plusquellec et Thierry Benvegnu, ont commencé à développer des tensioactifs 100 % verts à partir de matières premières naturelles. Ils se rendirent ainsi compte du potentiel immense de leur nouvelle molécule.
L’histoire de SurfactGreen
Des échantillons pour les consommateurs
En 2011, Thierry Benvegnu créa l’unité opérationnelle nommée Surfact’Green, avec le but d’évaluer l'attractivité du marché.
Échantillons et production pour les clients
La SAS SurfactGreen fut établie fin 2016, financée par deux sociétés de capital-risque, une entreprise de transfert de technologie, les deux inventeurs, ainsi que quatre entrepreneurs. SurfactGreen a pu lever 1,2 millions d’euros en fonds propres. La BPI (Banque Publique d’Investissement) leur a également accordé des subventions et un prêt précoce pour un montant total de 0,5 million d’euros.
Recherche brevetée
Entre 1984 et 2020, les inventeurs ont publié huit brevets internationaux. Trois d’entre eux sont en co-propriété avec trois entreprises internationales. SurfactGreen ne cesse de développer de nouveaux brevets, afin de protéger ses innovations et leurs applications.